Le langage conventionnel du politique d'aujourd'hui c'est de dire "y a pas de salut sans la croissance". Alors comment arriver avec un discours qui dit à l'inverse, la croissance n'est pas la solution c'est le problème ? Comment faire comprendre que c'est le problème à des gens qui sont convaincu d'un précepte, d'un dogme absolu que sans la croissance on ne peut pas évoluer. Donc j'ai renoncé à ce discours bien que j'ai essayé de l'expliquer. Alors, j'ai choisi "la sobriété heureuse" parce que finalement ça ne s'adresse pas d'une façon générale à un système mais à une personne : "par la sobriété je peux être heureux ". Ce que je perd soit-disant sur l'avoir, je le gagne sur l’être.
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mercredi 5 septembre 2012
Pierre Rabhi nous parle de décroissance et de sobriété heureuse
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