lundi 25 février 2008

Ecologie et ultralibéralisme

La vision libérale du monde pourrait être comparée à une vision simpliste de la sélection naturelle ou les lions sélectionnent les gazelles qui courent le moins vite.



Or l'essentielle de la pression sélective, ce ne sont pas les lions qui la font, ce sont les virus, les bactéries, l'alimentation, le climat qui change la répartition des ressources, l'équilibre sociale des populations animales. La morale derrière la sélection naturelle a plus a voir avec la notion d'équilibre qu'avec la notion de compétition. En fait l'exaltation de la compétition n'est qu'une déformation idéologique basée sur une vision simpliste du monde.

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