Au Etat-unis, en réaction au McMansion (les pavillons de banlieue ridiculement grand, ostentatoires et de qualité discutable), en réaction à l'endettement, à l'idée qu'il faut à tout prix devenir propriétaire, être dans le bon quartier pour l’école des enfants, s'enfoncer jusqu'au cou dans les dettes, subprime s'il le faut, en réaction à la surenchère de consommation qu’entraîne la surenchère de mètres carrés par personne, est apparu un mouvement architectural et social qui s'appelle le "Tiny House movement" qui consiste à se construire à budget réduit une toute petite maison, entre le mobile home et la cabine dans les bois, dans une forme de sobriété heureuse.
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mercredi 21 août 2013
dimanche 2 décembre 2012
Solution : Amory Lovins et l'" Integrative Design"
Amory Lovins, est une sorte de gourou des green tech, fondateur du Rocky Mountain Institute.
Dans cette video : Amory B. Lovins: Big Savings Through Integrative Design, il promeut ce qu'il appelle "Integrative Design", que l'on pourrait traduire par design intégré (?) et qui consiste en un processus de conception impliquant tous les intervenants du projet et toutes les contraintes du design et en les mettant au service de l'optimisation énergétique. (cette notion est d’ailleurs maintenant inclue dans le LEED, la certification américaine pour les bâtiments écologiques).
Son exemple typique est la manière dont, pour un bâtiment de serveurs informatiques, les ingénieurs fluides, les architectes, les entreprises, le clients et tous les autres intervenants ont travaille ensemble et ont réussit à économiser jusqu’à 40% d’énergie grâce à des astuces simples et ne coûtant rien comme par exemple en réduisant la longueur des tuyaux et le nombre de coudes dans le circuit de climatisation.
jeudi 14 juin 2012
mercredi 25 janvier 2012
samedi 7 janvier 2012
Solar City Tower
Ayant eu le privilege de visiter l'exposition universelle de Shanghai 2010, je pensais avoir deja vu du beau, du bon green washing. Je vois qu'il y a une chance que Rio 2016 batte des records.
Solar City Tower with ‘urban waterfall’ proposed for 2016 Rio Olympics |
dimanche 4 décembre 2011
Amundsen–Scott South Pole Station
Le risque des normes basses consommation, si elle sont appliquées bêtement, est d'arriver à une architecture de bouteille thermos. Il y a un endroit ou l'architecture de bouteille thermos existe déjà et ou c'est plutôt bienvenu. Voir ce documentaire sur la base scientifique Amundsen–Scott au pôle sud et toutes les autres bases de la région.
samedi 12 novembre 2011
“Charrettes”
Le Green Building Institute, association qui développe le LEED souligne l'importance de ce qu'ils nomment des "Charrettes", qui est en fait une méthode de participation des habitants au projet d'architecture ou de développement urbain développée par le "National Charrette Institute".
La vidéo suivante est très intéressante pour comprendre en quoi ça consiste . Aussi en cherchant "charrette" sur youtube, on obtient de nombreux résultats.
Au delà du fait marrant que les américains aient repris un mot français bien connu des architectes, il est intéressant de constater que, dans tous les mouvements, associations ou partis, écologique ou pour le "développement soutenable", européens ou américains, l'on retrouve les thèmes de "participatif", "local" ou "open source".
Sans avoir réfléchi a la question, il est peut-être difficile de comprendre ce qui lie "écologie" et "open source" ou "Eco quartier" et "participatif". Je vais donc essayer de creuser ce thème dans de prochains post.
mercredi 14 septembre 2011
Hectare global
Lorsque l'on dit " si tout le monde vivait comme un américain il faudrait cinq planète", d'où sort ce chiffre ?
C'est en fait le résultat du calcul de la bio-capacité de la terre entière qui est ensuite convertit en hectare global (hag). Ça signifie que toutes les activités humaine sont converties en hectares. Par exemple, un km parcouru en camion est converti en hectare nécessaire à l'absorption du Co2 et en hectare consacre aux routes et autoroutes ou encore la fabrication du papier nécessite une certaine quantité d'eau qui peut être convertie en hectare en prenant des précipitations moyennes...etc Ce calcul peut être fait a différentes échelles en terme d'empreinte écologique.
Pour cela on doit définir un hectare global qui est une moyenne de la bio-capacité de toutes les mesures en hectare de toutes les zones biologiquement productives sur la planète. Si vous prenez la somme de la bio-capacité de la planète, puis la diviser par le nombre d'hectares sur la surface de la Terre, vous obtenez la bio-capacité d'un hectare de terre moyenne.
Pour cela on doit définir un hectare global qui est une moyenne de la bio-capacité de toutes les mesures en hectare de toutes les zones biologiquement productives sur la planète. Si vous prenez la somme de la bio-capacité de la planète, puis la diviser par le nombre d'hectares sur la surface de la Terre, vous obtenez la bio-capacité d'un hectare de terre moyenne.
Lorsque «hectare global par personne le terme est utilisé, il se réfère à la quantité de terres biologiquement productives et de l'eau disponible par personne sur la planète. Par exemple En 2005, il y avait 13,4 milliards d'hectares de terre biologiquement productive et en eau disponibles et 6,5 milliards de personnes sur la planète. Ceci donne une moyenne de 2,1 hectares globaux par personne. Puisque la population mondiale est en croissance rapide, ce nombre diminue rapidement.
L'hectare global est une mesure très utile de la bio-capacité, puisqu'il permet de comparer des choses autrement difficile a comparer. Par exemple, en terme de besoins alimentaires humains dans un certain espace physique, il peut être utilisée pour montrer combien de personnes une certaine région de la Terre peut supporter avec les technologies actuelles et les méthodes agricoles. Il peut être utilisé aussi comme un moyen d'évaluer combien de surface est-t-il nécessaire pour absorber telle quantité de CO2.
Un hectare de terre donnée peut être mesurée en équivalent hectares globaux. Par exemple, un hectare de surface luxuriante avec des précipitations élevées représenterait plus d'hectares globaux que ne le ferait d'un hectare de désert.
Pour les architectes ou urbanistes qui sont habitués à manier des surfaces, à les optimiser, il y a une piste de travail intéressante. On peut visualiser les choses comme ça :
![]() |
On peut faire quoi avec un hectare ? |
![]() |
Quelle énergie avec un hectare ? |
En évitant d'avoir une vision comptable des choses et de tomber dans le piège du zoning, l'exercice est intéressant pour appréhender nos limites...et comprendre les ordres de grandeur.
dimanche 29 mai 2011
Verre sur Béton
L'architecture internationale, est sensée être basée sur les idées de transparence et de lumière. Le mur rideau (façade en verre suspendue pour les non initiés) en est vraiment le symbole. Pourtant en voyant le bâtiment ci-dessous, en construction à l'heure où je vous parle, on peut s'interroger : quand le décalage entre l'idée et la réalité devient tel, n'aurait-on pas besoin de nouveaux paradigmes ?!
LEED
LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) est un système d'évaluation et de certification de l'impact environnemental des bâtiments. Il a été crée par le USGBC (US Green Building Council), une association à but non lucratif qui représente des intervenants de l'industrie du bâtiment, architectes, ingénieurs, villes, constructeur...
La certification est assurée par le GBCI (Green Building Certification Institute) par un système de crédits et plusieurs niveaux de certification :
La mission est statuée comme suit :
"Transformer la façon dont les bâtiments et les collectivités sont conçues, construites et exploitées, permettant un environnement écologiquement et socialement responsable, sain, prospère et qui améliore la qualité de vie"
L'esprit du LEED a des avantages très intéressant par rapport à certaines autres normes que d'aucun qualifient de technocratiques :
- C'est un système évolutif : ça a commence avec LEED 1.0 et on est maintenant a LEED 3.0. Ainsi les exigences évoluent avec les technologies, le système d'évaluation est corrigé pour éviter des effets contre productifs...etc
- C'est un système de point non rigide, pour valider des points par exemple, on a parfois le choix entre montrer que le bâtiment répond a certains critères prédéfinis ou en faisant soit même des calculs montrant que les objectifs sont atteint même si par des chemin non conventionnels. De plus des points sont accordés pour des innovations.
- Le LEED met l'accent sur ce qu'ils appellent "Integrative design", les charrettes, ou les processus participatifs. L’idée est que l'implication de tous sur un projet permet d'atteindre les objectifs de manière beaucoup plus efficace. (Ce n'est pas sans lien avec l'idée derrière "le coefficient spirale").
- Le LEED a une approche globale des problèmes écologiques. Ainsi le système de crédits est pondéré en fonction du poids ou de l'urgence des différents enjeux environnementaux. Cette pondération est apparue avec le LEED 3.0 pour corriger le fait qu'on pouvait avec les précédentes version certifier un bâtiment en grappillant tous les points faciles à obtenir, sans vraiment faire d'effort en matière d’énergie. Cette approche globale permet aussi d'augmenter les synergies ou effets de leviers dans les solutions apportées ou d'évaluer le cycle de vie de l'ensemble du bâtiment.
mardi 24 mai 2011
HQE
Je me souviens, il y a une dizaine d’année, avoir géré le dossier HQE (Haute Qualité Environnementale) d'un certain projet dans une certaine agence architecturale dont je tairais le nom.
Dans cette agence, "faire un dossier HQE", ça consistait en gros à prendre un dossier existant (une vingtaine de page A4), changer le nom du projet sur la première page, faire un peu de copié-collé de quelque description du projet, ajouter un petit paragraphe sur le fait qu'il y a du bois, et s'engager à bien isoler le bâtiment. Pour résumer : une petite heure de paperasse et puis s'en va !
Je ne sais pas où ça en est maintenant, mais cette expérience pourrait faire penser que le HQE frôlait le green washing institutionnel et bien sur ça donne des arguments à tous ceux, sous la pression de lobby ou pas, qui voudraient supprimer toute norme. Pourtant, les normes, certifications ou incitations environnementales sont fondamentalement nécessaires (à développer), et centrales dans les politiques environnementale .
Il est donc urgent de regarder aussi ce qui se fait ailleurs :
samedi 14 mai 2011
Mur végétal
Sur le même thème que le post précèdent, effectuons une petite comparaison entre une solution High-tech le mur végétalisé sur treille métallique avec système d'irrigation goutte a goutte et une solution Low tech, le lierre .
- Avec la solution mur végétalisé, il est plus facile d'expliquer que le maître d'ouvrage est éco-responsable quel qu'en soit la définition du terme alors qu'avec la solution lierre, il va falloir trouver d'autres idées pour faire de la pédagogie et c'est fatiguant.
- Avec la solution mur végétal, votre interlocuteur est prêt à vous accorder le fait que vous avez des compétences techniques assez incroyables pour réussir a faire pousser de l'herbe sur les murs, dans le second cas il va vous dire "ça me rappel chez ma grand mère".
- Avec la solution mur végétal vous avez passé trois jours à dessiner les détails de la chose, avec la solution lierre, vous êtes resté lire un bon bouquin à une terrasse de café et ça c'est pas bon pour la croissance.
- Avec la solution mur végétal vous pouvez écrire un paragraphe entier dans le dossier HQE avec la solution lierre, vous arrivez à peine à caser une phrase.
- Avec la solution mur végétal, vous avez fait Oeuvre de création avec le lierre pas trop.
- Avec la solution mur végétal, vous aidez à la création d'une filière "spécialiste en entretien de mur végétal" dans le lycée technique du coin, alors qu'avec l'option lierre, rien du tout, c'est le moyen-âge.
vendredi 13 mai 2011
Green house
Les architectes ont souvent une tendance à comprendre les choses de manière littérale. Ils ont déjà reussi à interpréter "déconstructivisme" en "on construit a l'envers" et "concept philosophique" en "j'ai une idée de forme". Ça fait parfois la force de leur compétences de plasticiens mais dans la majorité des cas, ça démontre surtout formalisme et discours creux (je suis bien placé pour le savoir). Ainsi, maintenant une "green house", c'est une maison sur laquelle on fait pousser de la moumoute verte.
lundi 4 avril 2011
Photovoltaique en facade ?
Je suis tombé sur cet ensemble de logements en construction l'autre jour par hasard. Je ne connais rien au projet ni a l'architecte mais vu comme ça, je ne peux m'empêcher de faire quelques commentaires :
- Ne serait-il pas plus productif d'avoir de grandes fenêtres et de profiter de manière passive des apports solaires en lumière et chaleur ?
- Est ce que la production électrique future de ces panneaux solaires, posés verticalement a l'ombre des arbres de la rue, est vraiment pertinente ?
- Ces panneaux photovoltaïque ne sont-ils pas la juste pour la déco ?
- N'est-il pas dommage qu'il n'y ait pas de balcons sur les derniers étages alors que tous les bâtiments voisins, qui ne datent pas d'aujourd'hui, en offrent généreusement ?
- l'archi n'a-t-il pas supprimé les balcons dans le seul but de donner une forme plus "hype" au bâtiment?
- Ce bâtiment n'est-il pas qu'une grosse opération de green-washing ?
mercredi 9 décembre 2009
Réfugiés banlieusards
De Dimitri Orlov, je ne peux m'empêcher de copier ici un passage sur le logement au États-Unis :
(traduction trouvée sur http://www.orbite.info)
En revenant à la situation aux États-Unis : ces derniers mois, beaucoup de gens se sont réconciliés avec l'idée que leur maison n'est pas un distributeur d'argent, ni un bas de laine. Ils savent déjà qu'ils ne pourront pas prendre leur retraite confortablement en la vendant, ou s'enrichir en la rénovant et en la revendant, et un bon nombre de gens ont acquiescé au fait que les prix de l'immobilier vont continuer de descendre. La question est : à descendre de combien ? Beaucoup de gens pensent encore qu'il doit y avoir une limite inférieure, un prix réaliste. Cette pensée est liée à l'idée que le logement est une nécessité. Après tout, tout le monde a besoin d'un endroit pour vivre.
Et bien, il est certainement vrai qu'une sorte d'abris est une nécessité, que ce soit un appartement, un dortoir, une couchette dans une caserne, un bateau, un camping-car, ou une tente, un tipi, un wigwam, un conteneur... La liste est virtuellement infinie. Mais il n'y a aucune raison de penser qu'un pavillon mono-familial de banlieue soit en n'importe quel sens une nécessité. Ce n'est guère plus qu'une préférence culturelle, et de plus à courte vue. La plupart des maisons de banlieue sont chères à chauffer et à refroidir, inaccessibles par les transports publics, chères à relier aux réseaux publics à cause des longueurs de tuyauterie et de câble, et demandent une grande quantité de dépenses publiques supplémentaires pour l'entretien des routes, ponts et autoroutes, les bus scolaires, la régulation de la circulation et d'autres absurdités. Elles occupent souvent ce qui était autrefois de la terre agricole valable. Elles promeuvent une culture centrée sur l'automobile qui détruit les environnements urbains, engendrant une prolifération de centre-villes morts. Beaucoup de familles qui vivent dans des maisons de banlieue ne peuvent plus se le permettre, et attendent que les autres viennent les secourir.À mesure que ce mode de vie deviendra inabordable pour tous ceux concernés, il deviendra aussi invivable. Les municipalités et les services publics n'auront pas de fonds à déverser sur les égouts, l'eau, l'électricité, la réparation des routes et des ponts, et la police. Sans essence, gaz naturel et fuel domestique abondant et peu cher, de nombreuses habitations de banlieue deviendront à la fois inaccessibles et invivables. Le résultat inévitable sera une migration massive de réfugiés banlieusards vers les centre-villes plus vivables, plus densément peuplés des grandes et petites villes. Les plus chanceux trouveront des amis ou de la famille avec qui rester ; pour les autres, il sera vraiment utile d'improviser une solution.
(traduction trouvée sur http://www.orbite.info)
jeudi 10 septembre 2009
Arcologies
On voit de plus en plus dans les magazines ou sur les sites d'archi des trucs du genre île artificielle avec une mégastructure éco-machin de 2000m de haut bardés de PV avec surtout beaucoup de jardins suspendus pour faire green...
C’est exactement la fuite en avant dont parle Tainter. Fabriquons des projets :
- hyper complexes,
- qui sont sensés résoudre des problèmes
- mais qui en définitive n'apportent pas d'avantages réel en terme de qualité de vie
- dont le coût démesuré et toutes les externalités ne sont pas prise en compte !!!
- qui rendent la société plus fragile au moindre choc ou catastrophe
- qui résonnent comme "progrès" dans la tête des élites qui croient jouer a Simcity
- mais qui en fait sont inconsciemment des arches de Noë
Crystal Island Project |
Lilypad floating city concept |
Oasis at sea: The Ark hotel concept |
Green Float concept: a carbon negative city on the ocean |
dimanche 28 juin 2009
Kunstlercast
Une émission hebdomadaire où Kunstler fait la critique inlassablement et avec humour de l'environnement bâtis au USA. Parfois un peu conservateur au niveau architectural, il marque quand même des points à chaque fois. Ci dessous, quelque titres d'émission pour donner le ton :
- After the Plastic Fiesta
- Incomprehensible Buildings
- Missing Teeth in the Urban Fabric
- From Hippies to Yuppies
- Wishful Thinking
- Starchitects
- Children of the Burbs
- Contracting Cities & Urban Chickens
- Sprawling to Obesity
- Idiocracy
- Packin' For France
- The Demise of Happy Motoring
- Disneyfication of America
- The Politics of Place
- Geritopia
- Suburban Sprawl in the Rust Belt
- Energy Delusions
mercredi 10 juin 2009
Rocky Mountain Institute
Comme explique sur leur site, c'est un institut américain qui se donne pour mission de conduire les effets d'amélioration d'efficacité et de régénération des ressources. Ils travaillent dans le public et dans le prive comme consultants en essayant d'appliquer des principe de "Natural Capitalism".
Ils proposent du "Consulting en stratégie" des "Innovation Workshops" et de la recherche.
Leur domaine d'intervention : Bâtiment, Énergie et Ressources et Mobilité + Efficience des véhicules.
Ce qui est intéressant c'est qu'il ont une approche très cohérente : a approfondir!!
mercredi 21 janvier 2009
La ville en creux
En voyant ces péniches amenant des tonnes de sable pour alimenter les chantiers de Shanghai, en voyant toutes ces tours grandes comme des montagnes, on peut imaginer un coin perdu, où le creux de toutes les matières extraites forme une sorte de ville en négatif.
vendredi 16 mai 2008
vitres bleues
Je ne sais pourquoi mais depuis que je suis en chine, je suis fasciné par les vitres bleues électrique qui parsèment de nombreux bâtiments dans quasiment toutes les villes de Chine. On en voit partout, de bâtiment construits juste avant le grand boom de l'économie chinoise jusque sur des projets assez récent, sur des tours de trente étages ou sur des petites maisons auto construites. Typiquement ces vitres bleues électriques se retrouvent sur des bâtiments pseudo modernistes recouverts de céramique blanche qui devaient dans les années quatre vingt représenter le top de la modernité. Il serait intéressant, comme projet artistique ou pour un mémoire d'architecture, de remonter la chaîne jusqu'à l'usine, ou jusqu'au bureau de l'administration central qui a décide de la création de cette "filière industrielle".
Ça pourrait être une sorte de symbole du fait que la centralisation a la chinoise et la société industrielle sont tout sauf incompatibles.
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