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mercredi 4 septembre 2013

greenwashing

Shanghai, photo d’éolienne sur les transformateurs électrique.
Dans la famille green-washing voici le père : dans un pays ou l'on carbure a 80 % au charbon, ça n’empêche pas de coller des poster d’éoliennes et de vertes prairies sur les transformateur électrique.

lundi 22 octobre 2012

Quel est le mobile ?

Dans cet article, on a la réponse à deux questions qui se posaient récemment : 
La deuxième question est en partie la réponse à la première : une grosse part du pétrole produit au US n'est pas intégrée au marché mondial (en partie pour des raison politique et en partie pour des raison d'infrastructures : le WTI Crude Oil est produit à l’intérieur des terres au US et il est difficile de l'acheminer aux terminaux pétroliers, d'ou son prix plus bas). Clamer que les US seront bientôt énergétiquement indépendant permet au compagnies pétrolière et gazière de pousser à la libéralisation du marchés et à la construction des infrastructures qui leur permettrait de vendre leur production au prix mondial, c'est a dire au prix fort.



Les industrie pétrolière et gazière utilisent un message trompeur d'indépendance énergétique pour pousser les exportations américaines
par Kurt Cobb

Avec le prix de l’essence atteignant récemment 4 $ le gallon, les plans annoncés la semaine dernière par le géant pétrolier international BP, qu'ils exporterait du pétrole brut produit aux États-Unis devraient faire hurler les Américains. Pour qu'un tel plan soit une bonne politique énergétique - plutôt que simplement rentable pour l'industrie du pétrole - les États-Unis devraient d'abord produire suffisamment de pétrole pour répondre à ses propres besoins. Mais le pays est loin de produire cette quantité. Néanmoins, la campagne trompeuse que mène l'industrie pétrolière visant à faire croire au public et aux décideurs politiques que les États-Unis sont sur le point d'atteindre l'indépendance énergétique semble réussir - une tentative qui n'est en fait qu'un écran de fumée pour pouvoir vendre le pétrole et le gaz naturel du pays au plus offrant .

Jusqu'à présent cette année, les États-Unis ont produit 6,2 millions de barils par jour (mbj) de pétrole brut ainsi que des condensâts (ce qui est la définition du pétrole), chiffre à mettre en rapport à la consommation quotidienne nette qui est de 13,6 mbj de produits pétroliers finis. Le pays est loin d'être libéré des importations de pétrole, et comme je vais l'expliquer plus loin, il n'y a pas de perspective réaliste du fait que nous puissions jamais produire assez de pétrole dans le pays pour satisfaire nos besoins au niveau actuel de la consommation.

C'est pourquoi à ce jour, à l'exception d'expéditions mineures et sporadiques vers quelques pays ainsi que quelque petites livraisons régulières traversant la frontière canadienne, le gouvernement américain n'a permis aucun autre export de pétrole brut domestique. La demande de BP est présumée être une tentative pour amener le pétrole produit dans le Dakota du Nord vers les raffineries du Canada sur la côte Est. Le pétrole produit dans le Dakota du Nord se négocie avec un rabais de 20 $ par rapport au pétrole actuellement importés d'Europe par les raffineries canadiennes.

Les analystes estiment que BP peut expédier au Canada le pétrole du Dakota du Nord par train ou par d'autres moyens et battre ainsi le prix européen. Toutes choses étant égales par ailleurs cela aurait tendance à faire monter le prix du pétrole brut aux États-Unis. L'ironie, bien sûr, est que le Canada exporte une grande partie de sa production de pétrole brut vers les États-Unis, ce qui en fait le plus important fournisseur américain de pétrole importé. Néanmoins, les différences de qualité du pétrole et de l'infrastructure de transport semblent favoriser ce que BP propose.

Le plus préoccupant peut-être pour les consommateurs américains est une demande de licence d'exportation d'une entreprise de négoce suisse, Vitol, qui voudrait obtenir la capacité à exporter du pétrole brut US partout dans le monde, où elle pourrait obtenir un bon prix pour cela. Si cette demande est acceptée, c'est saison ouverte sur l'approvisionnement en pétrole brut intérieur américains.

Pour être clair, le prix du pétrole aux Etats-Unis est déjà basé sur les prix mondiaux. C'est parce que le pétrole peut être livré avec la flotte mondiale de pétrolier à l'endroit où le prix est le plus élevé. Cela tend à égaliser les prix à travers le monde une fois que les frais de transport sont inclus. Mais, parce que l'infrastructure à l'intérieur des États-Unis est insuffisante pour déplacer le pétrole à bon marché vers les ports pétroliers, le prix du pétrole se négocie dans ce cas à un prix inférieur aux prix mondiaux. Donc, chaque fois que les sociétés ou entreprises commerciales croient qu'elles peuvent réduire les coûts de transport, tels que ceux du Dakota du Nord qui n'a pas de littoral, elles vont essayer de transporter le pétrole qui est sous-évalué vers des marchés plus rentables.

Le gaz naturel est une autre affaire. Il n'y a pas encore de système mondial intégré d'acheminement du gaz naturel où le prix est le plus élevé. En Amérique du Nord, le gaz naturel est essentiellement un produit régional. Il peut être déplacé par gazoduc entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, mais ça s'arrête la. Pour cette raison, la surabondance de gaz naturel causé par le sur-forage des nouveau dépôts de gaz de schiste disponibles a fait baisser les prix de façon spectaculaire, passant de 13 $ par millier de pieds cubes (mpc) à la mi-2008 à un peu plus de 3 $ par mcf aujourd'hui.

La surabondance a fait dire que les États-Unis vont bientôt produire la totalité de leur gaz naturel. Dans la pratique, cela ne fonctionne pas de cette façon. Avec de soi-disant vastes réserves de gaz naturel maintenant sous leurs pieds, les Américains ont du importer 14,2 pour cent de leur gaz naturel, en 2011, la quasi-totalité de celui-ci à partir du Canada, selon la US Energy Information Administration (EIA), l'agence statistique de l'US Département of l'énergie. A titre de comparaison, les importations annuelles de gaz naturel aux États-Unis de 1990 à 2010 étaient en moyenne de 16,8 pour cent de la consommation américaine totale. Progrès, certes, mais pas exactement indépendance énergétique.

L'EIA prévoit, cependant, que la production nationale américaine de gaz naturel va augmenter suffisamment pour que les États-Unis puisse devenir un exportateur net de gaz naturel d'ici 2022. Pourtant, certains analystes ont émis des doutes sur ces prévisions. En fait, les allégations disant que les États-Unis en ont pour 100 ans de gaz naturel ont été largement réfutée. Tout d'abord, cette allégation était fondée sur les ressources estimées. Comme je suis obligé de le rappeler aux gens encore et encore, les ressources sont ce que l'on pense être dans la croûte terrestre basée sur des preuves partielle dans le meilleur des cas. Les réserves, d'autre part, sont ce que le forage a montré qui peut être produit en utilisant la technologie existante à prix courants à partir des champs connus. Les réserves prouvées et probables de gaz naturel américain totalisent seulement 22 ans d'approvisionnement au rythme actuel de consommation.

dimanche 23 septembre 2012

La vrai signification de la crise - et ce que nous pouvons y faire.

Une petite animation très dynamique créée par une association de designer australiens.



Voici leur message fondateur tel que trouve sur leur site :
  1. Nous pensons qu'il est probable qu'une grande dépression mondiale (en particulier une spirale déflationniste, un probable effondrement du système bancaire une hyperinflation potentiel qui s'ensuivra) est en cours et sera probablement suivie par un déclin économique dû à un pic ressources. Il y a un risque de chocs soudains sur la route, mais dans l'ensemble l'effondrement prendra probablement beaucoup de temps pour complètement se jouer.
  2. Nous ne pensons pas que de grandes solutions centralisées soient particulièrement viable, en raison du manque d'investissement et d'une énergie et des ressources de plus en plus coûteuse.
  3. Nous ne croyons pas que le système actuel puisse être réformé pour faire face à ses faiblesses. Il est probable que les gouvernements ne feront qu'empirer les choses au lieu de les améliorer, d'abord par des mesures d'austérité, puis éventuellement par le populisme, le fascisme et la guerre conçus pour garder la population sous contrôle.
  4. Nous croyons que des solutions alternative communautaires à petite échelle pourrait répondre à nos besoins et créer une vie plus satisfaisante, ce qui réduirait la probabilité de mourir de faim, les conflits, le fascisme, la guerre, etc
  5. Nous pensons qu'il est possible que le monde entier puisse se convertir un mode de vie plus simple plus gratifiant grâce à un point de basculement de personnes qui démontrent des idées qui tombe sous le sens.
  6. Nous faisons la promotion de changements vers des moyens localisés et résilient de répondre aux besoins de l'homme, ce qui conduira à une meilleure qualité de vie en termes de santé et de bonheur, indépendamment du fait que les points 1 à 3 se révèlent correctes ou non. D'un autre côté, ne pas faire ces changements pourraient conduire à des problèmes si nos attentes se réalisent.

jeudi 16 février 2012

Naomi Klein: Addicted to risk

Un TED talk de Naomi Klein sur le thème de "l'addiction au risque", central dans les crises financières et écologiques. Très convaincant.



Naomi Klein est une journaliste canadienne, auteur, cinéaste et militante altermondialiste. Auteur de No Logo et La stratégie du choc.

vendredi 13 janvier 2012

Changing Climates, Changing Times (2008)

Ce documentaire de 2008 semble assez cohérent avec ce que l'on peut lire des conséquences du réchauffement climatique, dans les scénarios intermédiaires (pas les pire ou les émissions de Co2 restent incontrôlées pendant tout le XXIe siècle)

dimanche 25 décembre 2011

"il était une fois... l'Homme"

Dans les bons souvenirs d'enfance : une grande fresque de l'histoire de l’humanité en dessin animé: "il était une fois... l'Homme" suivit de "il était une fois...l'Espace". (Attention Spoiler) La morale du dessin animé c'est une vision assez linéaire de l'histoire qui aboutit à la "sublimation" de l’humanité qui atteint en quelque sorte le paradis dans un éclat de lumière !!

Quand on y repense un peu, c'est imprégné de la vision occidental du monde et de morale et chrétienne. Je crois que, à un moment ou un autre, il va falloir que nous nous rendions compte que la "flèche du progrès" n'est peut-être pas si droite.

dimanche 30 octobre 2011

The Peoples Republic of Capitalism (2008)

Un documentaire américain qui explore la chine actuelle et ses transformations. C'est une vision assez optimiste de son développement qui souligne le "Rêve américain à la chinoise". De fait la Chine reste très pauvre et a droit au développement.  En voyant ce documentaire à coté de "Manufactured Landscapes" (pour avoir l'envers du décors), on peut je crois commencer à avoir une vision assez réaliste du "phénomène chinois". 

Ce qu'il faut souligner c'est que, pour l'instant ce développement prend la forme d'une croissance forte du PIB sur un modèle complètement occidental. Je pense qu'entre les trente glorieuses en France et la Chine maintenant, il y a plus de similitudes que de différences. Le seul problème, c'est qu'entre temps on a atteint les limites physique de la planète et qu'il est urgent de faire la différence entre "développement" et "croissance du PIB".

samedi 29 octobre 2011

Complexité, énergie et économie mondialisée 1/4


Il existe en anglais une expression dont je n'arrive pas à trouver une traduction satisfaisante : "To connect the dots". Reconstituer une vision d'ensemble à partir des différents éléments fractionnels dont on dispose. Voici un article qui essaie donc de connecter les dots. C'est une synthèse actuelle des idées de Joseph Tainter, de limits to growth  et de Donella Meadows

Cette approche de dynamique des systèmes fait ressortir une grille de lecture que je trouve particulièrement pertinente pour "la civilisation", "le développement". Cela relie ressources, développement, économie et entropie (notion physique entre énergie et complexité)


À l'aube de l'effondrement: complexité, énergie et économie mondialisée
par David Korowicz

Les systèmes dont nous dépendons tous pour nos transactions financières, pour notre nourriture, notre carburant et autres moyens de subsistance sont si interdépendants qu'ils est mieux de les considérer comme des facettes d'un système global unique. La maintenance et l'exploitation de ce système mondial exige beaucoup d'énergie et, parce que les coûts fixes d’exploitation sont élevés, ce système n’est seulement rentable que s'il opère à pleine capacité. En conséquence, si son débit baisse parce que moins d'énergie est disponible, il ne se contracte pas d’une manière douce et contrôlable. Au contraire, il est sujet à un effondrement catastrophique.

image par Paul Butler

Fragments d'une économie mondialisée :
  • L'éruption du volcan Eyjafjallajökull en Islande a conduit à la fermeture de trois lignes de production de BMW en Allemagne, à l'annulation d’opérations de chirurgie à Dublin, à des pertes d'emplois au Kenya, à des passagers bloqués dans le monde entier et à de sévères avertissements sur les effets que ces bouleversements aurait sur certaines économies déjà stressées.
  • Pendant le blocus de dépôt de carburant au Royaume-Uni en 2000, les chaînes d'approvisionnement à flux tendu des supermarchés se sont interrompues et, comme les stocks fondaient, les étagères se sont immédiatement vidées. L'anxiété à ce sujet est montée à un point tel que le ministre de l’intérieur, Jack Straw, a accusé le blocus des camionneurs de "menacer la vie des autres et de mettre l'ensemble de l’économie et de la société à risque ».
  • L'effondrement de Lehman Brothers a contribué à précipiter un bref gel dans le financement du commerce mondial dans le même temps que les banques avaient peur d'accepter les lettres de crédit des autres banques. [1]
Tout comme nous ne remarquons jamais le sol sous nos pieds à moins que nous ne trébuchions, nous n’entre-apercevons ces réseaux complexes d'inter-dépendances sur lesquelles repose la vie moderne que lorsqu'une partie de ces réseaux échoue. Lorsque la panne est corrigée, le rideau se referme et tout revient à la normale. Cependant, c’est cette “normale”qui est extraordinaire.


dimanche 23 octobre 2011

Le dessous des cartes - commerce equitable, agriculture biologique, foodmiles



A voir au moins pour l'exemple de Starbucks et de l'Ethiopie qui est très parlant si vous n’êtes pas encore convaincu que les multinationales sont le mal incarné !!

Pour résumer : Starbuck par l'intermediaire du bureau américain des marques et brevets s'est opposé au fait que l’Éthiopie, pays originaire du café, dépose les noms Arrarre, Yirgacheffe et Sidamo qui sont des régions d'Ethiopie en tant que nom de cru de café. Pour avoir voyagé un peu sur place, je peux témoigner que la culture du café fait vraiment partie du patrimoine Éthiopien.


mercredi 12 octobre 2011

Pourquoi votre monde est sur le point de devenir bien plus petit !

Voici enfin un économiste qui parle du pic pétrolier !! Jeff Rubin, canadien, anciennement à la tête de la recherche économique d'une banque d'investissement (CIBC), il parle de la manière dont le pic devrait inverser le mouvement de la mondialisation. Il est l'auteur du livre "Why Your World Is About to Get a Whole Lot Smaller", sur ce thème.




Ref: Blog de Jeff Rubin


dimanche 26 septembre 2010

Quelles évidences ?

Quelles évidences que le scénario "business as usual" pour notre civilisation industrielle n'est pas viable ?

1. Dans ce qu'on mange, il y a dix calories de pétrole (engrais, transport, réfrigération...) pour un calorie de bouffe. Dans un monde ou déjà quelque milliard de gens ne mangent pas à leur faim, si le pic pétrolier (qui n'est pas la fin du pétrole) ne fais pas peur, c'est qu'on se fourvoie en pensant que "on va bien trouver quelque technologies de remplacement" comme si une energie abondante etait une sorte de droit divin de l'humanite.

2. Jusqu'à preuve du contraire, pour l'instant toute croissance économique s'accompagne de croissance de la consommation d'énergie. Si quelqu'un a des infos comme quoi le découplage est en train de s'opérer, je suis preneur. En attendant, je ne vois pas de quoi avoir un optimiste béa sur le fait que quand l'énergie disponible pour l'économie diminuera, la croissance reviendra quand même.

3.En ce qui concerne le changement climatique, le problème n'est pas de perdre quelques îles dans le pacifique. Un problème un peu plus grave c'est que quelque degrés de plus suffisent a redessiner complètement la carte des pluviométrie a l'échelle mondiale avec sûrement plus de perdants que de gagnants. Quand on sait que quelque mois de sécheresse dans le mid-ouest américain suffisent a créer des émeutes de la faim a l'autre bout du monde, pas la peine de faire un dessin sur les conséquences de quelque dizaine de % de pluviométrie en moins sur la moitié des terres agricoles planétaire...dans un monde a 9 milliards d'habitants...et les OGM qui fond pousser du riz sans eau, c'est de la SF.

4.Les médias ne sont pas assez catastrophistes !! Sur le réchauffement climatique, ce ne sont pas des illumines qui ont peur, ce sont des milliers de scientifiques dont si on lits les publications on commences a verdir. (et je parle de publication peer review, pas du journal du dimanche).

5. En ce qui concerne l'extinction des espèces, la perte de biodiversité, je crois que la majorité des gens n'ont pas bien compris l'importance de la diversité génétique que ce soit en matière animale, végétale ou humaine. Sans faire un cour, une piste : "résilience".

6. Si l'on comprend que le rapport du club de Rome n'est pas un ensemble de prévision a la Nostradamus comme de nombreux économistes se font un plaisir de le caricaturer, mais c'est un ensemble de modélisations scientifique et de scénarios qui ressemblent étrangement a ce qui se passe en ce moment, il y a de quoi douter de tous les scénario de prolongation tendancielles dont on nous rabâche les oreilles.

7. On voit en ce moment même que l'EROI de notre système énergétique diminue. Si on fait le lien avec les idées de Joseph Tainter dans "Failure of complex systems", on comprend que la solution ne viendra pas d'elle même, et que des changement très profonds sont nécessaires.

Même si l'on est de nature optimiste, si tout cela ne sonne pas ne serais-ce qu'une tout petite alarme au fond de notre inconscient, en dépit de toutes les certitudes candides que nous vivons dans le meilleur des mondes, c'est que je n'y comprend rien.

vendredi 12 juin 2009

Manufactured Landscapes (2006)

Je classerais ce documentaire dans la même catégorie que "notre pain quotidien" en ce sens qu'il s'agit là de donner a voir par des images aussi très impressionnantes, les coulisses de notre société industrielle et de la mondialisation.


jeudi 10 août 2006

Le cauchemar de Darwin (2004)


Le cauchemar de Darwin est documentaire sur la production de perche du Nil mais plus généralement, c'est un documentaire choc sur la mondialisation ou on prend en pleine face le faite que le pillage des ressources des pays africains n'est pas anecdotique.

Souvent en regardant les chiffres du PNB, des différents pays, on peut avoir l'impression que ce qu'on importe des pays africain représentant peu en valeur absolue,  "on pourrait faire sans les ressources des pays du tiers monde" mais la réalité est qu'au contraire, c'est comme si on bénéficiait gratuitement d'une augmentation de notre emprunte écologique.