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lundi 9 décembre 2013
Coût de la tonne de CO2 évitée
Issu du rapport du cabinet de consultant McKinsey listant 200 mesures à prendre classée en fonction de leur coût et de l'impact potentiel pour limiter le réchauffement à deux degrés d'ici à 2030.
mercredi 4 septembre 2013
greenwashing
samedi 31 août 2013
Infrastructure
mercredi 28 août 2013
Heat island effect
Un petit inconvénient de construire des routes de 80m de large, le Heat island Effect (en français, effet îlot de chaleur) qui fait que ici, à Shanghai par 40°C, il devient presque humainement impossible de traverser une rue à pied en plein après midi. Mais c'est un détail car qui n'a pas son SUV climatisé de nos jours ? De plus, quoi de plus beau et de plus moderne qu'une belle étendue de bitume bien lisse ?
mercredi 21 août 2013
Tiny House
Au Etat-unis, en réaction au McMansion (les pavillons de banlieue ridiculement grand, ostentatoires et de qualité discutable), en réaction à l'endettement, à l'idée qu'il faut à tout prix devenir propriétaire, être dans le bon quartier pour l’école des enfants, s'enfoncer jusqu'au cou dans les dettes, subprime s'il le faut, en réaction à la surenchère de consommation qu’entraîne la surenchère de mètres carrés par personne, est apparu un mouvement architectural et social qui s'appelle le "Tiny House movement" qui consiste à se construire à budget réduit une toute petite maison, entre le mobile home et la cabine dans les bois, dans une forme de sobriété heureuse.
jeudi 15 août 2013
Jean-Marc Jancovici à l’assemblée nationale
Audition sur le changement climatique de Jean-Marc Jancovici, à l’assemblée nationale le 6 Février 2013.
C'est un condensé en une heure de ses cours, "population énergie, climat " accessible ici. Comme Jancovici le dit souvent, ça doit pas être souvent que des élus sont assis pendant deux heures dans une pièce pour écouter des explications sur un sujet complexe autre que d'économique orthodoxe.
jeudi 8 août 2013
Pourquoi un panneau solaire dans le New Jersey a 15 fois plus de valeur qu'en Arizona ?
par Chris Nelder, initialement publié par GetRealList | 18 juillet 2013
Figure: Endroits où les énergies éolienne et solaire ferait le plus grand bien, selon les chercheurs |
Pour Greentech Media cette semaine, j'ai revu une nouvelle étude de chercheurs de l’université Carnegie Mellon qui ont montrés que, là où le vent et l'énergie solaire font le plus grand bien, n'est pas nécessairement là où ils sont le plus productifs. Une conséquence en est que nous pourrions en avoir plus pour notre argent si les incitations pour l'énergie éolienne et l'énergie solaire étaient ciblés en priorité de manière à remplacer des centrales au charbon.
Les bénéfices combiné, sur la santé, l'environnement et les avantages climatiques d'un panneau solaire dans le New Jersey sont quinze fois plus élevés que le même panneau en Arizona, et une éolienne en Virginie-Occidentale évite deux fois plus d’émissions de dioxyde de carbone que la même turbine si elle est en Californie.
Ce sont parmi les résultats les plus surprenants d'une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’université de Carnegie Mellon publiés dans les Actes de l'Académie nationale des sciences.
Les éoliennes fonctionnent mieux dans les États des Grandes Plaines et le Texas, où les facteurs de capacité peuvent dépasser 40 pour cent, mais une éolienne dans l'Ohio ou l'Indiana sert principalement à remplacer des centrales au charbon, qui causent le plus de dommages sanitaires et environnementaux. La Californie a déjà un mixe de production d'énergie relativement propre avec seulement 8,2 pour cent de sa puissance totale générée par le charbon, selon les données de l'État de Californie, dont la presque totalité est importée d'autres États. Ainsi, les avantages combinés d'une éolienne dans l'Indiana ou l'Ohio s'élèverait à 100 $ par mégawatt-heure, tandis que les bénéfices de la même turbine en Californie seraient seulement de 13$ par mégawatt-heure.
De même, l'énergie solaire photovoltaïque fonctionne mieux dans le sud-ouest ensoleillé, et moins bien en Nouvelle-Angleterre. Mais en remplaçant le charbon, les avantages combinés d'un panneau solaire dans l'Ohio ou du New Jersey serait quinze fois supérieur à celui que le même panneau aurait, dans l'Arizona, où le gaz naturel à combustion propre est le carburant dominant "marginal" qu'un panneau solaire entraînerait le déplacement.
"Si vous êtes intéressé à atténuer le changement climatique et à améliorer la santé humaine, vous obtenez beaucoup plus d'avantages du solaire ou éolienne dans des endroits comme la Pennsylvanie, l'Indiana, le New Jersey», explique le co-auteur Kyle Siler-Evans.
Les avantages varient non seulement en fonction d'où l'énergie éolienne et l'énergie solaire est produite, mais aussi de quand. La production éolienne est généralement plus importante la nuit, donc elle a tendance à remplacer des générateurs «base» au charbon. Les pics de production solaire sont quant a eux à midi, c'est donc plus susceptibles de remplacer des générateurs de gaz naturel à la demande. En conséquence, un mégawattheure d'énergie éolienne peut éviter plus d'émissions qu'un mégawattheure d'énergie solaire, selon l'endroit où il est installé. Le vent fournit 30 pour cent d'avantages en plus que l'énergie solaire en Virginie et dans le Maryland, mais la différence est «négligeable dans la plupart des Etats."
samedi 3 août 2013
The Money Fix (2009)
Un documentaire pour une réflexion sur une reforme monétaire.
extrait : "Beaucoup de gens pensent que l'argent est quelque chose qui est tangible, réel, et que vous pouvez le prendre et le manipuler. En fait ça n'est pas ça. L'argent est fondamentalement une idée. Et c'est l'idée que vous devez quelque chose à quelqu'un, ou que quelqu'un vous doit quelque chose. Et cette idée peut être symbolisée par un compte, où votre compte monte et le mien descend, ou vice versa. Ou il peut être symbolisé par un échange de monnaie-papier,ou un échange de pièces, que ce soit de l'or, de l'argent, du cuivre ou tout ce que vous voudrez. Mais ce ne sont que des symboles. Ce n'est en fait pas de l'argent. Une autre idée fausse que les gens ont à propos de l'argent est que l'argent est une chose, mais dans notre monde d'aujourd'hui, l'argent est simplement un crédit qui signifie que c'est un système d'information. Et la question est : quel type d'information cela transporte-t-il ? Il s'agit d'information concernant des revendications sur une certaine part du produit économique."
dimanche 28 juillet 2013
Vers la résilience (deuxième partie)
La construction d'un monde meilleur (et plus résilient) : Complexité, communauté et principe de précaution
par Laurie Mazur, initialement publié par NewSecurityBeat | 1 mai 2013
C'est la deuxième partie d'une adaptation de l'essai de Laurie Mazur pour le rapport WorldWatch 'State of the World 2013: Is Sustainability Still Possible?
par Laurie Mazur, initialement publié par NewSecurityBeat | 1 mai 2013
C'est la deuxième partie d'une adaptation de l'essai de Laurie Mazur pour le rapport WorldWatch 'State of the World 2013: Is Sustainability Still Possible?
Entre le tsunami de 2004 dans l'océan Indien et la Super tempête Sandy, la dernière décennie a vu une incroyable panoplie de catastrophes naturelles. Bien sûr, les catastrophes de toutes sortes ne sont pas nouvelles, mais, grâce à l'ampleur croissante et a l'interdépendance des entreprise humaine – y compris les dégâts que nous avons inflige au monde naturel - la fréquence, l'échelle et les conséquences des catastrophes d'aujourd'hui sont vraiment sans précédent.
La multiplication des catastrophes augmente la sensibilisation au sujet de notre besoin collectif de réduire nos vulnérabilités et d'augmenter notre capacité a rebondir par la suite - notre besoin d'une plus grande résilience. Dans le premier message de cette série, nous avons exploré les caractéristiques de la résilience des systèmes écologiques et sociaux. Ici, nous regardons comment ce raisonnement peut être appliqué et la façon dont la résilience est augmentée ou diminuée.
Bien sûr, il n'y a pas de solution magique pour cultiver la résilience des systèmes sociaux ou écologiques; la résilience est obstinément contextuelle. Mais quelques généralisations s'appliquent néanmoins:
Premièrement, ne pas nuire à notre capacité innée d’être résilient .
S'il y a bien une caractéristique des êtres humains c'est d’être résilient. Au cours des millénaires, nous avons colonisé presque tous les écosystèmes de la planète, nous sommes redressés après toute sorte de fléaux, de famines et d'autres catastrophes. Les leçons de ces expériences font partie de nous, elles sont codés dans nos systèmes immunitaires et dans nos structures sociales les plus durables.
C'est la bonnes nouvelles. "la résilience n'exige rien de rare ou d'extraordinaire", observe la psychologue Ann Masten dans le documentaire This Emotional Life. "Au contraire, elle nécessite que les systèmes adaptatifs humains fondamentaux fonctionnent normalement." Cela signifie que tout effort visant à renforcer la résilience doit commencer par une compréhension profonde des forces et des mécanismes d'adaptation existants et de faire tous les efforts pour les garder intacts.
mardi 23 juillet 2013
Emprunte Écologique et Indice de Développement Humain
Relation entre Emprunte Écologique et Indice de Développement Humain (HDI) à l’échelle des pays. |
Voici un graphiques que j'ai repris de ce post et refait au propre parce qu'il n’était pas très lisible C'est un des graphique les plus parlant qui soit en ce qui concerne les enjeux du développement durable et qui permet de visualiser le problème. Ça vaut le coût de prendre cinq minutes pour comprendre de quoi il s'agit et méditer sur les implications.
lundi 15 juillet 2013
The fruit hunters (2012)
Un agréable documentaire que l'on pourrait résumer par "la biodiversité version fruit". Même si vous avez déjà voyagé vers les tropiques, vous serez surpris par ce tour du monde des fruits dont certains sont extrêmement exotiques. C'est un aspect très visuel, très sensuel de la biodiversité que l'on devrait mettre en avant plus souvent pour faire comprendre les enjeux de la disparition des espèces.
NB : Chaque année, entre 17 000 et 100 000 espèces disparaissent de notre
planète, et un cinquième de toutes les espèces vivantes pourrait
disparaître en 2030, La majorité des experts en écologie estiment même qu'une extinction massive est déjà en cours.
lundi 8 juillet 2013
Le Dieu à trois têtes
Article de John Michael Greer publié ici : The Archdruid Report : The God with three heads
Il a été dit que la religion de l'homme est une chose qu'il ne peut pas supporter de voir remis en question. S'il y a quelque vérité dans ce vieux dicton, l'idée que la foi dans le progrès est une religion a beaucoup d'arguments en sa faveur. Au cours des sept années ou ce blog a été présent j'ai discuté d'un certain nombre de questions controversées et ait fait de nombreuses propositions qui contredisent les idées reçues de notre temps, aucune d'entre elles n'a aligné autant de dénonciations pétaradante que la suggestion que la croyance dans le progrès est la religion civile la plus importante du monde industriel moderne.
Un intervenant sur l'un des nombreux autres sites où mes messages apparaissent , a commencé sa critique du post de la semaine dernière par un cri de "Pourquoi perdre son temps avec cette question?". Puisque je doute que quelqu'un tient un pistolet sur sa tempe et lui fasse lire le texte de force, il va falloir qu'il réponde à sa question lui-même. Pourtant, son déchaînement furieux est un rappel utile de l'un des traits distinctifs des systèmes de croyance dont nous parlons, aussi subtile et bien argumentée que ces posture intellectuelle soient, elles atteignent les endroits les plus profonds du cœur humain, et s'appuient sur des passions puissantes et irraisonnée.
Les religions civiles aussi bien que les religions théistes ont des croyants motivés jusqu'à mourir pour leur foi et à tuer pour elle, prêts à faire d'énormes sacrifices et commettre des crimes effroyables. Pas beaucoup de motivations humaines peuvent égaler la religion comme force motrice, et je n'en connaît pas du tout qui la dépassent. Quand les gens dépassent les limites de l'humanité ordinaire dans n'importe quelle direction, aussi bien bonne que mauvaise, si ce n'est pas une question d'amour ou de haine d'un être envers un autre être humain, il y a des chances que ce qui les motive avant tout soit une foi a caractère théiste ou civil .
C'est l'une des raisons principales pour laquelle je me suis lancé dans une exploration des dimensions religieuses du pic pétrolier, et pourquoi j'ai commencé par une étude de la caractéristique la plus distinctive du paysage religieux de notre temps: la façon dont la croyance en l'invincibilité et la bienfaisance du progrès est venu jouer un rôle essentiellement religieux dans le monde moderne, imprégnant les conversations collectives de notre temps. C'est aussi la raison principale pour laquelle cette exploration se poursuivra dans les semaines à venir, car il y a beaucoup plus qui doit être dit au sujet de la foi contemporaine dans le progrès la mythologie historique qui la sous-tend, et les distorsions qu'elle impose à la quasi-totalité des hypothèses de notre société sur l'avenir.
Il est important, pour commencer, de prêter attention aux ambiguïtés intégrées dans la conception moderne du progrès. Quand les gens pensent ou parlent de progrès, sous ce nom ou un de ses euphémismes communs, il y a au moins trois choses différentes qu'ils peuvent signifier par elle. Toutes trois partagent le présupposé commun que l'histoire a une tendance naturelle à se déplacer dans une direction particulière, que ce mouvement dans cette direction est une bonne chose, et que les êtres humains peuvent et doivent contribuer à ce mouvement en avant vers le bien. C'est la dimension de la vie humaine dans laquelle le mouvement est censé avoir lieu qui marque la distinction entre ces différentes significations de progrès.
mercredi 3 juillet 2013
La mort de l'innovation, la fin de la croissance.
Robert J. Gordon est un économiste qui étudie les sources de la croissance sur le long terme dans les pays développés. Avant la première révolution industrielle, il n'y avait quasiment pas de croissance, elle plafonnait depuis des siècles à 0.2% en moyenne. Elle a augmenté ensuite progressivement jusqu’à un maximum (entre 2 % et 3%) dans les années 30, 40 et 50, puis elle a commencé a redescendre. Sur la dernière décennie, la croissance est plate. N'avons nous pas passe un pic de croissance ?
Si l'on étudie les sources premières de la croissance : démographie, éducation, innovation. Les deux premières peuvent difficilement constituer les sources de la croissance future pour les pays développés. Il ne reste que l'innovation comme source de croissance.
Et c'est la que Robert Gordon enfonce le clou. Il analyse l'innovation non pas en complexité mais en fonction de l'impact qu'elle ont eu sur la vie des gens et donc sur la croissance. Et on est bien obligé d'admettre que les innovations d'il y a 100 ans, électricité, eau courante, urbanisation, vaccination, chauffage, moteur a combustion...etc ont bien plus transformé la société que les innovation des 50 dernières années, ordinateur, internet, biotechnologies.
lundi 1 juillet 2013
Shale oil
Avant de parler d'indépendance énergétiques des us , de shale oil ou autre fin du peak oil, tout ce que je peux conseiller c'est d'écouter ce podcast, une interview de Arthur Berman, un analyste en matière de pétrole et de gaz, texans et indépendant.
KUNSTLERCAST |
samedi 29 juin 2013
Décrocher la lune
On a envoyé deux gusses planter un drapeau sur la lune il y a déjà 45 ans. A l’époque on prévoyait que quelque décennies après, les gens iraient passer leur lune de miel sur la lune...pourtant ce n'est pas ce qui s'est passé ! WTF ? Il se trouve qu'en fait ce n'est pas une question de technologie disponible mais une question d’énergie disponible.
mardi 25 juin 2013
Solutions : arbres fruitiers partagés
Le site allemand mundraub.org invite les gens à étiqueter les arbres fruitiers oubliés sur une carte interactive et a localiser les arbres existants qui peuvent être récoltées. Dans les deux premières années qui ont suivi le lancement du site en 2009, plus d'un demi-million de personnes ont consulté le site, et plusieurs centaines contribuent activement à la carte d'arbres fruitiers. La carte recense aujourd'hui environ 3.000 «lieux de découverte , ce qui correspondent à peu près à 20.000 ou 30.000 arbres. Est ce que la redécouverte du fruit commun grâce a ce site, une autre confirmation des théories de la lauréate du prix Nobel Elinor Ostrom sur la question de l'auto-gestion des biens communs par la communauté ?
dimanche 23 juin 2013
samedi 15 juin 2013
Vers la résilience (première partie)
Goldilocks avait raison: comment construire des sociétés résilientes au 21e siècle
par Laurie Mazur, initialement publié par NewSecurity Beat | 26 avril 2013
C'est la première partie d'une adaptation de l'essai de Laurie Mazur pour Worldwatch 'State of the World 2013: La durabilité est-elle encore possible?
Vers la résilience est une série sur la signification de la résilience ou la vulnérabilité mondiale aujourd'hui.
Quand la super tempête Sandy a percuté la côte Est américaine en Octobre dernier, c'était le dernier d'une série de «moments d'apprentissage» au sujet de notre vulnérabilité croissante face au changement climatique.
La tempête a tué quelque 150 personnes aux États-Unis, et a provoque 50 milliards de dollars de dégâts. En outre, en paralysant temporairement la ville de New York - l'une des grandes capitales financières et culturelles du monde - la tempête a semblé forcer beaucoup de gens a sortir du déni. «C'est le réchauffement de la planète, stupide!" Résonna un titre sur Bloomberg Business Week. Et, après un long silence sur le sujet, le président Obama a reconnu les impacts climatiques dans son discours inaugural. "Certains peuvent toujours refuser le jugement accablant de la science", a t-il déclaré, "mais personne ne peut éviter les effets dévastateurs des incendies qui font rage et la sécheresse paralysante et des tempêtes plus puissantes."
Surtout, la tempête a provoqué une nouvelle conversation sur notre besoin d'une plus grande résilience face aux catastrophe. C'est une conversation en temps opportun : Même si les catastrophes de toutes sortes n'ont rien de nouveau, la fréquence, l'ampleur et l'impact des catastrophes d'aujourd'hui sont plus grandes que jamais. Le nombre de personnes touchées par des catastrophes naturelles a explosé au cours du siècle dernier, passant de quelques millions de dollars en 1900 à environ 300 millions en 2011. La société de réassurance mondiale Munich Re a déclaré que 2011 a été l'année la plus coûteuse depuis toujours pour l'industrie de l'assurance.
Les calamités d'origine humaine sont aussi à la hausse. Aujourd'hui, les gens du monde sont liés que jamais par les réseaux mondiaux denses de commerce et d'information - et ces réseaux peuvent amplifier les perturbations. Par exemple, la crise financière actuelle a été déclenchée par les prêts hypothécaires à risque aux États-Unis, mais dans une économie mondiale interconnectée, ses effets se répercutent à travers le monde.
Pourtant, alors que les catastrophes de toutes sortes sont de plus en plus inévitable, il est possible de limiter leur impact. Certaines personnes, des communautés et des nations sont capables de se remettre sur pied a la suite de chocs importants, ils sont, en un mot, résilient. Mais qu'est-ce que ça veut dire? Quelles sont les caractéristiques qui confèrent la résilience, et comment peuvent-elles être cultivés?
par Laurie Mazur, initialement publié par NewSecurity Beat | 26 avril 2013
C'est la première partie d'une adaptation de l'essai de Laurie Mazur pour Worldwatch 'State of the World 2013: La durabilité est-elle encore possible?
Vers la résilience est une série sur la signification de la résilience ou la vulnérabilité mondiale aujourd'hui.
Quand la super tempête Sandy a percuté la côte Est américaine en Octobre dernier, c'était le dernier d'une série de «moments d'apprentissage» au sujet de notre vulnérabilité croissante face au changement climatique.
La tempête a tué quelque 150 personnes aux États-Unis, et a provoque 50 milliards de dollars de dégâts. En outre, en paralysant temporairement la ville de New York - l'une des grandes capitales financières et culturelles du monde - la tempête a semblé forcer beaucoup de gens a sortir du déni. «C'est le réchauffement de la planète, stupide!" Résonna un titre sur Bloomberg Business Week. Et, après un long silence sur le sujet, le président Obama a reconnu les impacts climatiques dans son discours inaugural. "Certains peuvent toujours refuser le jugement accablant de la science", a t-il déclaré, "mais personne ne peut éviter les effets dévastateurs des incendies qui font rage et la sécheresse paralysante et des tempêtes plus puissantes."
Surtout, la tempête a provoqué une nouvelle conversation sur notre besoin d'une plus grande résilience face aux catastrophe. C'est une conversation en temps opportun : Même si les catastrophes de toutes sortes n'ont rien de nouveau, la fréquence, l'ampleur et l'impact des catastrophes d'aujourd'hui sont plus grandes que jamais. Le nombre de personnes touchées par des catastrophes naturelles a explosé au cours du siècle dernier, passant de quelques millions de dollars en 1900 à environ 300 millions en 2011. La société de réassurance mondiale Munich Re a déclaré que 2011 a été l'année la plus coûteuse depuis toujours pour l'industrie de l'assurance.
Les calamités d'origine humaine sont aussi à la hausse. Aujourd'hui, les gens du monde sont liés que jamais par les réseaux mondiaux denses de commerce et d'information - et ces réseaux peuvent amplifier les perturbations. Par exemple, la crise financière actuelle a été déclenchée par les prêts hypothécaires à risque aux États-Unis, mais dans une économie mondiale interconnectée, ses effets se répercutent à travers le monde.
Pourtant, alors que les catastrophes de toutes sortes sont de plus en plus inévitable, il est possible de limiter leur impact. Certaines personnes, des communautés et des nations sont capables de se remettre sur pied a la suite de chocs importants, ils sont, en un mot, résilient. Mais qu'est-ce que ça veut dire? Quelles sont les caractéristiques qui confèrent la résilience, et comment peuvent-elles être cultivés?
lundi 10 juin 2013
Cartographie de la transition
Ça bouge du cote du Shift Project. Voici la présentation d'une étude sur la cartographie de la transition carbone, c'est a dire une tentative de synthétiser toutes les bonnes idées d'ici ou là et dans tous les domaines. "La transition, ce n'est pas juste changer de mixte énergétique, c'est changer de model ". Il s'agit d'essayer de répertorier les évolution de la société nécessaires et désirable. Le rapport propose ensuite vingts exemples d'action vers la transition en les chiffrant, les évaluant et proposant des outils d'action.
Diapositives de la présentation.
Rapport final-Cartographie de la transition
mardi 4 juin 2013
FMI & pic pétrolier
- Oil and the world economy, some possible futures
- “The future of oil : geology versus technology”
- “World Economic Outlook: tensions from the two-speed recovery, Chapter 3 Oil Scarcity, Growth and Global Imbalances”
Voici une explication de texte sur ce sujet de Olivier Rech, un expert de ASPO France
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